La filière du bioéthanol s’interroge sur la capacité de l’Europe à faire converger ambitions climatiques et accompagnement des automobilistes si elle exclut des solutions au moins aussi efficaces que le 100% électrique. Comme le souligne l’Institut Montaigne dans un rapport récent, l’Europe ne peut pas continuer à piloter l’évolution de son parc automobile en fonction de la seule mesure des émissions brutes de CO2 au pot d’échappement. C’est une question de respect du principe de neutralité technologique et surtout de bon sens !