La CGB, une organisation professionnelle au service de ses planteurs, depuis 1921
La CGB fédère et porte la voix des planteurs. Son action syndicale répond aux différents impératifs économiques, sociaux et environnementaux.
La CGB est :
– affiliée à la FNSEA en tant qu’association spécialisée.
– membre de la CIBE (Confédération internationale des betteraviers européens) qui regroupe les organisations professionnelles betteravières de 18 pays européens
– membre de l’Association mondiale des producteurs de betteraves et de canne à sucre.
Défendre le revenu des betteraviers dans un environnement de plus en plus concurrentiel en intégrant la pérennité de la démarche interprofessionnelle
Soutenir le développement d’une filière multi-performante
Accompagner le changement des pratiques en prenant en compte les attentes sociétales
Valoriser l’image de la betterave et ses agriculteurs vis-à-vis de l’opinion publique et des médias.
La CGB participe à la gouvernance d’organismes interprofessionnels tels que l’Institut Technique de la Betterave (ITB) et Cultures Sucre.
Valeur première du syndicalisme betteravier, la CGB porte la conviction que c’est par la force du collectif que nous donnons du sens à notre projet au niveau d’une sucrerie, d’une région, de la France ou de l’Europe. Plus encore, cette valeur fondamentale de solidarité incarne l’attention qui est portée à tous les betteraviers. Cette solidarité s’est exprimée très récemment quand certains agriculteurs ont pu être frappés par des problèmes de toxicité de leurs désherbants, quand d’autres ont perdu leur production à cause du gel ou à cause des problèmes de jaunisse de 2020.
La CGB apporte une expertise de référence aux betteraviers, aux partenaires de la filière et aux décideurs politiques pour accompagner les prises de décisions individuelles et collectives. Capable de disséquer précisément les enjeux économiques au niveau international, européen, français et individuel, elle a le souci constant de valoriser et sécuriser la production des betteraviers et la compétitivité de la filière. Contribuant activement à la conception des politiques européennes et nationales pour notre secteur, elle porte des messages forts autour du besoin d’une organisation de marché efficace, reposant sur une contractualisation vertueuse dans notre filière.
La notion de service est au cœur de l’engagement de la CGB. Syndicat professionnel spécialisé dans la betterave, il est au service de ses adhérents et de l’intérêt général des planteurs de betteraves en intégrant les enjeux de la filière betterave-sucre-bioénergie. Elle cultive une relation de proximité auprès de chacun de ses adhérents au travers de ses délégations CGB situées dans chaque département en répondant à toutes leurs questions, en surveillant la réception de leur récolte, en les éclairant sur leurs problématiques juridiques, en les accompagnant sur leurs démarches indemnitaires, en défendant leurs intérêts au plus près de leur exploitation, en les conseillant dans leur communication vers les différentes parties prenantes et plus généralement en restant à l’écoute de leurs besoins.
Face aux défis de mutation que connait la filière betterave, la CGB adopte une posture de responsabilité pour trouver des solutions. La défense du revenu des betteraviers constitue la mission première de la CGB mais celle-ci s’exerce en recherchant toujours des solutions concrètes face aux défis de notre société : risques sanitaires, réchauffement climatique, biodiversité, alimentation saine sans oublier la compétitivité dans une économie de marché… C’est dans cette perspective que la CGB porte des solutions autour de la gestion des risques économiques et sanitaires, de la décarbonation de notre économie avec l’agriculture de précision, le biogaz ou le bioéthanol par exemple.
La CGB soutient l’innovation dans la filière et dans les exploitations agricoles. Avec l’accélération des transitions et le renouvellement des générations, les filières et les agriculteurs doivent être dans une posture sans relâche d’innovation pour trouver de nouvelles solutions techniques, agronomiques et même d’organisation économique. Concrètement, du côté des agriculteurs, cela passera notamment par le progrès génétique, la robotique, l’adaptation constante des itinéraires techniques ou encore le numérique pour un progrès constant des pratiques. Du côté filière, la CGB encourage l’innovation contractuelle pour faire face à la libéralisation du marché du sucre, et, en partenariat avec l’aval, soutenir les démarches visant à innover dans la valorisation des produits issus de la betterave et des pulpes.
Elle se réunit une fois par an. Elle est composée de planteurs désignés par les syndicats betteraviers. Le nombre de délégués représentant chaque syndicat est en fonction de la surface betteravière de la région, soit environ 500 délégués.
Retrouvez toutes les informations sur l’Assemblée Générale de la CGB sur la page dédiée en cliquant ici.
Il est élu par l’Assemblée Générale. Il comprend 63 membres titulaires. Chaque administrateur est nommé pour trois ans. Le renouvellement du Conseil d’Administration s’effectue par tiers chaque année.
En région, chaque syndicat départemental ou régional compte des délégués le représentant. Le nombre de délégués est déterminé par l’importance de la culture betteravière dans le département ou la région.
Chaque syndicat a également son propre Conseil composé d’élus qui sont eux-mêmes des planteurs. On compte un élu betteravier pour 50 planteurs, soit une structure vivante de 500 élus qui est l’émanation de 11 délégations départementales.
Le président : Franck Sander
Deux vice-présidents : Guillaume Gandon et Alexandre Pelé,
Le secrétaire général, Jean-Philippe Garnot / Le secrétaire général adjoint, Fabien Hamot / Le trésorier, Bertrand Languillat
et les membres ci-dessous :
Le Conseil d’Administration et son Bureau sont les instances dirigeantes de la CGB, dont ils orientent la politique générale.
L’élection du Président a lieu chaque année.
Depuis le 25 janvier 2019, le Président de la CGB est M. Franck Sander.
La CGB a constitué un certain nombre de groupes de réflexion appelés « commissions »
en vue de préparer les décisions du Conseil d’administration et de suivre leur exécution.
Chacune de ces commissions internes étudie l’actualité et les problématiques d’un sujet défini.
On compte ainsi 7 commissions présidées par 7 betteraviers :
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